Didier serait un petit point gigotant au fond champ. La cloche sonne midi (il y a forcément un clocher caché quelque part) Arrive Catherine. A son bras, un panier avec le bento du jour et une bouteille de quelque chose de frais, parce que tondre un tel champ ça donne drôlement soif. La main sur la hanche, elle appelle son homme puis déplie une nappe à carreaux, forcément à carreaux la nappe, rouge et blanc ça ressort mieux sur l'herbe verte. Après le pique nique, l'homme s'endort à l'ombre d'un pommier (il y a obligatoirement un pommier planqué quelque part) et Catherine remballe le panier et la bouteille, vides. Coupez !
et est-ce qu'il y avait de la tarte, dans le panier, ou des petites sucreries? parce qu'avec tous ces verts, on dirait un gâteau herbu à étages bien moelleux... et je dirais même qu'il a l'air délicieux, avec sa garniture d'arbres...
Et le suspense ? C'est que je pense au montage, moi, Monsieur Pluton. La scène suivante est prête, mais je ne voudrais pas m'étaler, fût-ce sur de l'herbe tendre.
Je vais rassurer les lecteurs : la photo ne représente pas la surface que Didier doit tondre.
RépondreSupprimerJ'allais dire la même chose !
RépondreSupprimerles rabats-joie, un peu de rêve au matin ne fait pas de mal.
RépondreSupprimerIci nous avons démarré la journée par un orage de grêle.
@ nicolas et didier :-)
RépondreSupprimerOups, herbe, tondeur...
RépondreSupprimerPenser à délimiter les espaces à NE PAS tondre.
Merci pour le rappel.
Le Luminaire passe la tondeuse sous la pluie ?
RépondreSupprimerChristophe : non, juste avant. J'aurais traîné une demi-heure de plus, j'échappais à la corvée...
RépondreSupprimerDans l'ouest on n'a pas de ciel bleu très bleu (quoique, parfois) mais au mpoins on a des verts très verts !
RépondreSupprimerDidier serait un petit point gigotant au fond champ. La cloche sonne midi (il y a forcément un clocher caché quelque part) Arrive Catherine. A son bras, un panier avec le bento du jour et une bouteille de quelque chose de frais, parce que tondre un tel champ ça donne drôlement soif. La main sur la hanche, elle appelle son homme puis déplie une nappe à carreaux, forcément à carreaux la nappe, rouge et blanc ça ressort mieux sur l'herbe verte.
RépondreSupprimerAprès le pique nique, l'homme s'endort à l'ombre d'un pommier (il y a obligatoirement un pommier planqué quelque part) et Catherine remballe le panier et la bouteille, vides.
Coupez !
Une bricole que cette parcelle pour Didier ! On sait bien que l'homme stenté ne manque pas de de ressort...
RépondreSupprimerAmitiés.
@Mère Castor, vous coupez au moment le plus intéressant...
Mère Castor, d'accord avec Pluton : )
RépondreSupprimerLa tondeuse? Déjà?
RépondreSupprimerMais laissez-les vivre les petites pâquerettes, les violettes et les primevères des jardins!
et est-ce qu'il y avait de la tarte, dans le panier, ou des petites sucreries? parce qu'avec tous ces verts, on dirait un gâteau herbu à étages bien moelleux... et je dirais même qu'il a l'air délicieux, avec sa garniture d'arbres...
RépondreSupprimerdéjà ?! chouette sentir la bonne odeur de l'herbe fraîchement coupée...
RépondreSupprimerEt le suspense ? C'est que je pense au montage, moi, Monsieur Pluton. La scène suivante est prête, mais je ne voudrais pas m'étaler, fût-ce sur de l'herbe tendre.
RépondreSupprimer