lundi 27 octobre 2008

En passant par la campagne (suite et fin)


Point de chameau, mais deux faisans.
L'un s'est envolé quand j'ai ouvert (pourtant, tout doucement) la portière.
L'autre m'a tourné le dos et s'est éloigné en se dandinant tranquillement.

10 commentaires:

  1. Moi c'est les rapaces qui me narguent, tranquilles sur leurs branches et quand je m'arrête ils vont plus loin. C'est là qu'on voudrait un appareil plus puissant et un super objectif, n'est-ce pas ?

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  2. A Paris, ce sont les gens qui t'ignorent...enfin pas tous, heureusement!;-)

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  3. Un super objectif, ce serait bien, mais il faudrait qu'il soit déjà installé ou alors il faut prendre le temps de faire le guet. C'est énervant de rater des rencontres comme ça.
    Monik, ignorez les aussi et continuez de faire de belles photos.

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  4. Vous devriez remplacé l'appareil photo par une carabine.

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  5. Ça va pas, non ? Nicolas, il y a bien assez de chasseurs ici. Je ne donne pas beaucoup de chance de survie à ses deux là.

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  6. d'accord avec Nicolas ...en terrine c'est pas mal !

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  7. Véron, je n'aime pas l'idée de les tuer, mais les manger en terrine, oui. C'est contradictoire ?

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  8. Non ce n'est pas contradictoire, à chacun son métier !
    Au prof de sciences qui me demandait si j'étais végétarienne parce que je refusais de disséquer une grenouille vivante, j'ai répondu non mais je n'ai pas à tuer et dépecer la vache ou le cheval avant de manger.

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  9. C'est ça, on ne veut pas voir. C'est lâche... mais tant pis, faut bien manger.

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