Dans le canapé de la Salle des Pierres, mon Luminaire Céleste et moi prenons l'apéritif, complètement séduits par la vue, l'orage qui arrive et les reflets dans l'une des Stèles noires.
Vos photographies et les textes de l'autre blog gouxien sont un réconfort. Je ne suis toujours pas remise d'avoir quitté ces lieux. J'ai erré dans la bibliothèque aujourd'hui, l'esprit tellement ailleurs, que mes collègues ont compris qu'il me faudrait un peu de temps pour revenir vraiment. Mais revient-on de Plieux ? Cet emdroit a une telle emprise sur moi que je suis, de retour ici, complètement désemparée. Je vous souhaite des heures et des journées aussi heureuses que l'ont été les miennes dans cette si belle demeure. Pascale
Séduits !!! on le serait à moins... à moins je vous dis... vous avez vraiment, vraiment... beaucoup de chance... de même que quelques autres.... Mais bon, il reste les livres ... comme moyen d'évasion... Internet aussi... direz-vous... pas vraiment, trop d'agressivité...trop de paraître (Nom d'un chien... je crois que je pourrais en faire une page entière de ces trop... qui excluent toutes sortes d'humanité) Mais quand, comme l'un des livres de Camus c'est de l'art empreint d'artisanat, relié à l'ancienne (je crois me souvenir)... on ne peut guère se l'offrir...
@ Nathalie, elle me dit que je suis la plus belle en ce château (facile, je suis la seule femme) et qu'à force de monter et descendre 20 fois par jour les 2 étages, je suis en train de me faire des fesses d'enfer ! @ Pascale, c'est merveilleux d'être ici et je crois que notre retour dans la vie réelle sera aussi dur que le votre. Mais, il se pourrait que notre petite conspiration fonctionne... @ Epamin', vous ne croyez pas si bien dire ! Il y a une fenêtre avec deux bancs de pierre où les femmes cousaient en profitant de la lumière et, disent les mauvaises langues (les hommes) pour surveiller et cancaner.
Joli. Et toi princesse du château, que vois tu quand tu te regardes dans la stèle noire ?
RépondreSupprimerQuand on regarde dans la Stèle noire, on n'y voit que du feu...
RépondreSupprimerVos photographies et les textes de l'autre blog gouxien sont un réconfort. Je ne suis toujours pas remise d'avoir quitté ces lieux. J'ai erré dans la bibliothèque aujourd'hui, l'esprit tellement ailleurs, que mes collègues ont compris qu'il me faudrait un peu de temps pour revenir vraiment. Mais revient-on de Plieux ? Cet emdroit a une telle emprise sur moi que je suis, de retour ici, complètement désemparée.
RépondreSupprimerJe vous souhaite des heures et des journées aussi heureuses que l'ont été les miennes dans cette si belle demeure.
Pascale
Séduits !!! on le serait à moins... à moins je vous dis...
RépondreSupprimervous avez vraiment, vraiment... beaucoup de chance... de même que quelques autres....
Mais bon, il reste les livres ...
comme moyen d'évasion...
Internet aussi... direz-vous... pas vraiment, trop d'agressivité...trop de paraître (Nom d'un chien... je crois que je pourrais en faire une page entière de ces trop... qui excluent toutes sortes d'humanité)
Mais quand, comme l'un des livres de Camus c'est de l'art empreint d'artisanat, relié à l'ancienne (je crois me souvenir)... on ne peut guère se l'offrir...
Assise la fileuse,
RépondreSupprimerAu bleu de la croisée...
Ben! Elle est où la fileuse?
J'aime ces contre-jours qui permettent à l'esprit de s'envoler!
Pascale : je pense que notre mois va être égal au vôtre. Je vous fais un mail personnel demain (là, il est tard, la nuit est merveilleusement tombée).
RépondreSupprimer@ Nathalie, elle me dit que je suis la plus belle en ce château (facile, je suis la seule femme) et qu'à force de monter et descendre 20 fois par jour les 2 étages, je suis en train de me faire des fesses d'enfer !
RépondreSupprimer@ Pascale, c'est merveilleux d'être ici et je crois que notre retour dans la vie réelle sera aussi dur que le votre. Mais, il se pourrait que notre petite conspiration fonctionne...
@ Epamin', vous ne croyez pas si bien dire ! Il y a une fenêtre avec deux bancs de pierre où les femmes cousaient en profitant de la lumière et, disent les mauvaises langues (les hommes) pour surveiller et cancaner.
place à l'imagination et au rêve !
RépondreSupprimertrès belle journée catherine
chez nous on dit cascailler.
RépondreSupprimerTentant de venir cascailler sur le banc près de toi. Et chasser les fantômes, s'il y en a.
@ Karine, on ne s'en lasse pas !
RépondreSupprimer@ Mère Castor, viens cascailler avec moi (en attendant, le patchwork n'est touours pas sorti de la valise...).
Quoi ???? Qu'est-ce que je lis ???
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