Bonjour et bien une très belle photo avec ce titre c'est extra. J'aime ces couleurs que je regarde dés que je le peux. passe une belle et douce journée a bientôt
Stéphanie, tout va bien. C'est une réflexion... France, merci. Véron, cyanosé, tout de suite les grands mots ! Mais oui, dans un mois j'y retournerai et je vais guetter la repousse. D'ailleurs, il me semble que les bourgeons commencent à gonfler.
Comment ça "les bourgeons commencent à gonfler" ???? Que t-ont-ils donc fait...? T'as qu'à les envoyer paître ! La photo est très jolie...(et je viens de comprendre le cyanosé...)
Et certains toujours trop tôt...comme l'auteur de la citation. (je constate que vous êtes dans les fils barbelés, depuis quelque temps ; un peu de pagaille dans le paysage me plait toujours davantage ! )
Je ne suis pas du tout d'accord avec cette citation. C'est faux. Certes nous mourrons tous, mais nous ne sommes pas en train de mourir, nous sommes en train de vivre. Jusqu'au dernier souffle nous sommes vivants. J'hésite à poursuivre pour ne pas avoir l'air de m'opposer gratuitement à l'assentiment général exprimé sous ce billet. Les penseurs bouddhistes sont à la mode et consensuels, c'est dans l'air du temps, mais il ne suffit pas de parler par aphorismes pour être profond ou, tout simplement, vrai. Une belle formule, si en plus elle évoque la vie, l'amour, la souffrance ou la mort, et avec quelques fleurs de cerisiers japonais, a vite fait de séduire, mais chacun sait qu'un séducteur ne cherche pas forcément la vérité, ni intellectuelle, ni affective, encore moins spirituelle. La photo me semble plus belle, plus abrupte, plus vraie que la citation de D. Rinpotché.
@Christine Entièrement d'accord avec vous! Il suffit de sortir une maxime attribuée de préférence à Confucius ou à un "penseur bouddhiste" et l'esprit critique disparaît. Orage
Christine et Orage, vous fâchez pas. Je ne suis pas bouddhiste, je trouvais la phrase en adéquation avec mon humeur du moment. Et en plus j'avais programmé un billet dans le même style pour ce matin, sachant que je n'aurai pas le temps. N'y voyez aucune provocation. Mifa je sais bien que vous aimez la pagaille ; )
je voudrais répondre (pour une fois !) à Christine et Orage, que le sens de cette phrase de Dudjom Rinpoché n'est pas celui qu'ils lui attribuent. Cette phrase s'inscrit dans l'ordre d'une pensée bien précise et, lue en dehors du contexte, elle peut en effet choquer. Mais elle parle à d'autres qui la comprennent autrement, sans nécessairement être bouddhistes, comme Catherine. Ce processus d'une phrase extraite du contexte et mal interprétée est connu de tous et je ne vous apprends rien, et il ne peut, à mon sens, être reproché à ceux qui se trompent de bonne foi (par ailleurs, la science et le sens commun ne disent pas autre chose, à savoir que tout ce qui est né va mourir un jour). Dudjom Rinpoché était un enseignant et un homme de très haute valeur et profondément respecté par le monde bouddhiste. Par ailleurs, l'esprit critique et la logique sont des valeurs non seulement respectées mais requises par l'enseignement bouddhiste. Je suis sûre que vos objections seraient écoutées et discutées avec beaucoup d'intérêt par ceux-là même qui ont reçu les enseignements de Dudjom Rinpoché. Dans le contexte boudhiste (selon ma compréhension) cette phrase a pour but (je saute tous les détails) de nous rendre heureux, et notamment heureux de vivre !
je n'avais pas vu qu'il y avait une discussion si vive... pour certains, c'est beaucoup trop tôt, on accepte moins chez nous que chez les sages bouddhistes... merci, je ne viens pas assez souvent sur ton blog!
Une belle photo a jolie la dominance bleue (un traitement ?) Quand à la citation, et comme toutes citations, son interprétation dépend effectivement du contexte dans lequel elle est annoncée. Mais effectivement on naît, on vit, mais on meurt aussi chaque jour,(notre corps) et ça personne n'y peut rien... c'est pourquoi nous nous devons d'aimer et de profiter de cette Vie !
Et bien voilà une bien belle discussion. En fait, je suis plutôt d'accord avec Mifa et Danièle (Anaximandre) mais je comprends bien les réticences de Christine et Orage. Tout est affaire de perception personnelle finalement.
A la lecture de ta phrase du jour, j'espère que tout va pour toi.
RépondreSupprimerBonjour
RépondreSupprimeret bien une très belle photo avec ce titre c'est extra. J'aime ces couleurs que je regarde dés que je le peux. passe une belle et douce journée a bientôt
un peu cyanosé ton barbelé .... mais ça lui va bien !
RépondreSupprimerdans un mois il y aura là une verdoyante profusion ....
tu verras !
un peu cyanosé ton barbelé .... mais ça lui va bien !
RépondreSupprimerdans un mois il y aura là une verdoyante profusion ....
tu verras !
Stéphanie, tout va bien. C'est une réflexion...
RépondreSupprimerFrance, merci.
Véron, cyanosé, tout de suite les grands mots ! Mais oui, dans un mois j'y retournerai et je vais guetter la repousse. D'ailleurs, il me semble que les bourgeons commencent à gonfler.
Et c'est pourquoi il faut aimer la vie, les herbes sèches et les herbes vertes. Très beau billet.
RépondreSupprimerComment ça "les bourgeons commencent à gonfler" ???? Que t-ont-ils donc fait...? T'as qu'à les envoyer paître !
RépondreSupprimerLa photo est très jolie...(et je viens de comprendre le cyanosé...)
J'aime beaucoup ta photo. Couleurs froides et douces. XX
RépondreSupprimeren voilà un beau cliché !!!
RépondreSupprimerMère Castor, on est d'accord : )
RépondreSupprimerMistigree, il a fallu que j'aille voir dans le dictionnaire pour être sure...
Nathalie et Phyll, merci
Et certains toujours trop tôt...comme l'auteur de la citation.
RépondreSupprimer(je constate que vous êtes dans les fils barbelés, depuis quelque temps ; un peu de pagaille dans le paysage me plait toujours davantage ! )
Je ne suis pas du tout d'accord avec cette citation. C'est faux. Certes nous mourrons tous, mais nous ne sommes pas en train de mourir, nous sommes en train de vivre. Jusqu'au dernier souffle nous sommes vivants.
RépondreSupprimerJ'hésite à poursuivre pour ne pas avoir l'air de m'opposer gratuitement à l'assentiment général exprimé sous ce billet. Les penseurs bouddhistes sont à la mode et consensuels, c'est dans l'air du temps, mais il ne suffit pas de parler par aphorismes pour être profond ou, tout simplement, vrai. Une belle formule, si en plus elle évoque la vie, l'amour, la souffrance ou la mort, et avec quelques fleurs de cerisiers japonais, a vite fait de séduire, mais chacun sait qu'un séducteur ne cherche pas forcément la vérité, ni intellectuelle, ni affective, encore moins spirituelle.
La photo me semble plus belle, plus abrupte, plus vraie que la citation de D. Rinpotché.
@Christine
RépondreSupprimerEntièrement d'accord avec vous! Il suffit de sortir une maxime attribuée de préférence à Confucius ou à un "penseur bouddhiste" et l'esprit critique disparaît.
Orage
Christine et Orage, vous fâchez pas. Je ne suis pas bouddhiste, je trouvais la phrase en adéquation avec mon humeur du moment. Et en plus j'avais programmé un billet dans le même style pour ce matin, sachant que je n'aurai pas le temps. N'y voyez aucune provocation.
RépondreSupprimerMifa je sais bien que vous aimez la pagaille ; )
je voudrais répondre (pour une fois !) à Christine et Orage, que le sens de cette phrase de Dudjom Rinpoché n'est pas celui qu'ils lui attribuent. Cette phrase s'inscrit dans l'ordre d'une pensée bien précise et, lue en dehors du contexte, elle peut en effet choquer. Mais elle parle à d'autres qui la comprennent autrement, sans nécessairement être bouddhistes, comme Catherine. Ce processus d'une phrase extraite du contexte et mal interprétée est connu de tous et je ne vous apprends rien, et il ne peut, à mon sens, être reproché à ceux qui se trompent de bonne foi (par ailleurs, la science et le sens commun ne disent pas autre chose, à savoir que tout ce qui est né va mourir un jour).
RépondreSupprimerDudjom Rinpoché était un enseignant et un homme de très haute valeur et profondément respecté par le monde bouddhiste.
Par ailleurs, l'esprit critique et la logique sont des valeurs non seulement respectées mais requises par l'enseignement bouddhiste. Je suis sûre que vos objections seraient écoutées et discutées avec beaucoup d'intérêt par ceux-là même qui ont reçu les enseignements de Dudjom Rinpoché.
Dans le contexte boudhiste (selon ma compréhension) cette phrase a pour but (je saute tous les détails) de nous rendre heureux, et notamment heureux de vivre !
très beau...
RépondreSupprimerben oui, il faut en profiter, mais ça passe si vite !
je n'avais pas vu qu'il y avait une discussion si vive... pour certains, c'est beaucoup trop tôt, on accepte moins chez nous que chez les sages bouddhistes...
RépondreSupprimermerci, je ne viens pas assez souvent sur ton blog!
Une belle photo a jolie la dominance bleue (un traitement ?)
RépondreSupprimerQuand à la citation, et comme toutes citations, son interprétation dépend effectivement du contexte dans lequel elle est annoncée. Mais effectivement on naît, on vit, mais on meurt aussi chaque jour,(notre corps) et ça personne n'y peut rien... c'est pourquoi nous nous devons d'aimer et de profiter de cette Vie !
Et bien voilà une bien belle discussion. En fait, je suis plutôt d'accord avec Mifa et Danièle (Anaximandre) mais je comprends bien les réticences de Christine et Orage. Tout est affaire de perception personnelle finalement.
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