Eh bien oui, mes chers amis, le seau-qui-sert-à-rien a survécu à la neige, au froid, au givre et à la pluie.
Un peu plus bancal, un peu plus rouillé, mais l'oeil vif, il surveille toujours le chemin et les promeneurs.
Tel qu'il était en juillet 2008.
Il a pris un coup de vieux quand même !
RépondreSupprimerl'année prochaine, il ne restera que le piquet.
RépondreSupprimerManque plus que le Vidourle !
RépondreSupprimer... il est au curry cette fois... car un sot l'y laisse de dinde mmmmiammm !
RépondreSupprimerce seau ne doit plus se souvenir de sa dernière histoire d'eau !!!,o)
RépondreSupprimerle temps déchire grave !
RépondreSupprimerRouillée et cabossée mais toujours là, je prône la solidarité des vieux machins : seau, mon frère, dans mes bras !
RépondreSupprimerEt bises fraîches à Catherine.
Bises, Catherine
RépondreSupprimermais que fait-il là ce vieux machin ?
RépondreSupprimerCe seau est sot...bon week end Catherine...
RépondreSupprimerKarine, c'est la question que je me pose depuis des années !
RépondreSupprimerJ'aime bien !! J'espère qu'on le reverra l'an prochain !! Il doit avoir fini la vie active et jouit d'une retraite paisible sur son piquet...
RépondreSupprimer