Ici, de très beaux dessins et des dîneurs qui se réfléchissent dans la vitrine. C'est déjà mieux que de ne pas réfléchir du tout !
Là, un prie-Dieu, qui me tentait... pour offrir à mon Luminaire Céleste.
Et bien sûr, ces passages regorgent de boutiques de livres.
Bonjour Catherine !
RépondreSupprimerCe sont des tableaux, tes photos... Exceptionnel(le) Irrempe !
:-))
Bisous
Bonjour Anne-Claire. Merci bien, c'est gentil. Passe une belle journée. XX
RépondreSupprimerHors sujet Catherine : auriez-vous des photos de Swann et Bergotte ?
RépondreSupprimerOui, elle en a.
RépondreSupprimerDe rien.
Les vitrines de l'avenue
RépondreSupprimerC'est mes poches à moi quand je rêve
Et que j'y fouille à mains perdues
Des lambeaux de désirs qui lèvent
Léo Ferré, Vitrines.
Balmeyer, j'en ai, je vous les envoie.
RépondreSupprimerFranssoit, merci.
Didier, c'est bien beau.
La provinciale que je suis s'est trouvée émerveillée dans ces passages. Rien qu'en regardant vos photos, on sent l'odeur un peu fanée des vieux livres, c'est un régal.
RépondreSupprimerHeureusement Catherine que je suis loin de ces boutiques de vieux livres parce que, d'une part, il faudrait repousser les murs et, d'autre part, il ne me resterait pas un sou en poche.
RépondreSupprimerJeffanne
La boutique de livres... Un rêve.
RépondreSupprimerMerci Pétronille. Jeffane et la Mère Castor, ces boutiques de vieux livres sont irrésistibles. On y passe un temps fou à regarder, sentir, fouiner...
RépondreSupprimerC'est vrai que je vois bien Didier sur le prie-Dieu, tous les soirs faire contrition.
RépondreSupprimerUn prie-dieu !
RépondreSupprimerun prix, Dieu ?
Euh... Oui... 25 euros,
ça vous va ?