Ce matin, comme je mettais à tremper les champignons secs offerts par Mère Castor, je pensais au plaisir que j'ai eu à la rencontrer.
Puis, comme tous les matins, je suis allée faire le tour des blogs.
Et là, stupéfaction, les deux blogs de Mère Castor n'existaient plus.
Elle avait une façon bien particulière de raconter des histoires, réelles ou imaginaires en les illustrant de jolies photos du Vidourle ou de ses petits personnages plein d'humour qu'elle fabriquait.
Je suis triste, et j'ai beaucoup pensé à Mère Castor aujourd'hui.
Oui, c'est brutal, comme un deuil auquel on ne s'étaient pas préparés. Dur.
RépondreSupprimerAujourd'hui j'ai fait deux croix. Merci Catherine et Nathalie, mais ce n'est pas un enterrement, non, juste un coup de blues intempestif. Et définitif.
RépondreSupprimerNoooooooonnnnn!
RépondreSupprimerPourquoi l'intempestif est-il si souvent définitif ?
RépondreSupprimerJe ne rendais pas visite tous les jours à Mère C. Castor ....... mais j'y passais . Il nous reste Le Vidourle ou les Allées de l' Oulle à arpenter pour essayer de la croiser !
RépondreSupprimerNathalie, c'est un peu ça.
RépondreSupprimerChristine, passez un bel été et je souhaite que le blues fonde au soleil.
Larkéo, ben si !
L'autre Christine, nous, les femmes, on est souvent comme ça, non ?
Véron, c'est le rendez-vous quotidien qui va me manquer. Le Vidourle est un peu loin, mais j'y retournerai certainement. Et en plus toi aussi, tu t'en vas bientôt...
mince, quel dommage.... passe un bon dimanche
RépondreSupprimer@ Veron , bonjour, Christine me rejoindra j'en suis sur a Avignon, tres prochainement, une rencontre est surement possible.
RépondreSupprimer@Catherine, plein de bonnes pensées pour vous et Didier.
À vous aussi Fidel Castor. Faut nous la requinquer notre chère Mère Castor.
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